Jean est appelé en Algérie en 1962. De retour en France, c’est à l’âge de trente ans qu’il meurt lors d’un dernier séjour à l’asile. Soixante ans plus tard, il suffit de presque rien, d’une confusion de prénom, pour que le passé surgisse comme une déflagration.
Guillaume Viry narre le temps fracassé, et la folle histoire de la guerre d’Algérie et ses échos contemporains. Dans ce premier roman, l’auteur bouleverse et cristallise l’ampleur d’une tragédie. Tout de blancs, de non-dits et de silences, L’Appelé révèle un écrivain.
Publication : 6 septembre 2024, éditions du Canoë
Résident Fondation Jan Michalski
Lauréat Centre National du Livre
Coup de coeur des libraires : Place des libraires
Dîner des Primo-romanciers 2024 du Centre National du Livre / Livres Hebdo/ Madame Figaro.
Sélections Prix Littéraires
Révélation d’automne de la Société des Gens de Lettres (SGDL)
Prix André Malraux – Littérature engagée
Prix des lecteurs et lectrices des bibliothèques de la ville de Paris
Prix festival Premier Roman Chambéry
Prix 68 premières fois
Prix Verdelettres (librairie L'Obèle)
Presse
« C’est un livre fascinant. Vertigineux. Les mots vous prennent à la gorge. C’est proprement hallucinant. Un impitoyable réquisitoire contre cette sale guerre. » Les lettres françaises, Jean-Pierre Han
« À travers l’écriture unique de Guillaume Viry, L’Appelé s’impose comme une œuvre forte et nécessaire, un vibrant appel à ne jamais oublier le prix de la guerre et les séquelles durables que la violence laisse sur les générations. Un roman cru, dérangeant, impossible à ignorer. » Mare Nostrum, Jean-Jacques Bedu
« L’Appelé ne ressemble à rien d’autre et cultive sa singularité avec brio » Le Bien Public, Inès Pallot
« L'un des premiers romans les plus marquants de cette rentrée. La condensation et le traitement poétique des énoncés fait de L’Appelé une des créations littéraires des plus réussies sur la guerre d’Algérie. » Collateral, la revue, Christiane Chaulet Achour
« Le long poème en prose, en manière d’oraison funèbre, de Guillaume Viry est bouleversant de délicatesse et de tact. Et d’une beauté rare. La littérature, telle qu’on l’apprécie et la défend. » Territoires romanesques, Jean-Claude Lebrun
« C’est court, intense, habité, le texte respirant au rythme du phrasé syncopé de chaque narrateur. Un magnifique premier roman, une superbe découverte ! » D’une berge à l’autre, Jérôme Prevost
« Un roman bouleversant. » Radio Libertaire
« C’est court, c’est brillant. La signature d’un grand écrivain » Wukali, magazine d’art et de culture, Emile Gougut
Librairie
« Dans ce roman court en vers, l’auteur décortique, répète et essaie de comprendre le stress post traumatique d’un appelé au retour d’Algérie. Étonnant, sincère, indélébile ! » Librairie le Chat Pitre (Fécamp)
« Un cri face à la folie de la guerre coloniale, un soupir ensevelissant la mémoire brisée sous une chape de déni. Ce roman est un souffle puissant. » Librairie la Litote (Paris)
« Un texte d’une grande intensité pour évoquer la guerre d’Algérie et ses conséquences sur un jeune appelé, mais aussi sur les liens familiaux faits de secrets et de non-dits. Une prose puissante, faite de blancs pour prendre sa respiration. Un texte coup poing. Magistral. » Librairie L’Indépendante (Saint- Gaudens)
« Absolument impactant et mémorable. Génial ! » Librairie Bateau Livre (Lille)
« On adore » Librairie Libralire (Paris)
« Un texte vif et percutant. On est happé par la fluidité de l’écriture ainsi que par sa poésie. A lire d’une traite ! » Bibliothèque Arthur Rimbaud (Paris)
« C’est l’histoire d’un appelé en Algérie en 1962. C’est l’histoire d’un traumatisme tu et insurmontable. Guillaume Viry s’empare de l’histoire déchirante de Jean et en fait un court récit poétique construit sur des répétitions et des interrogations qui questionnent la culpabilité. Un récit poignant. » Médiathèque Marguerite Duras (Paris)